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L’inconscient & la reprogrammation du subconscient

 

« Tant que vous n’aurez pas rendu l’inconscient conscient, il dirigera votre vie et vous appellerez cela le destin. » Carl Gustav Jung

 

L'inconscient

 

L'inconscient est considéré comme une instance psychique, distincte de la conscience et qui est capable d'élaborer une pensée.

La plupart de nos décisions, de nos émotions et de nos comportements sont contrôlés par des mécanismes inconscients.

Dans ce descriptif, zoom et explications sur l’inconscient.

 

Conscience et inconscient

 

Le conscient et l’inconscient désignent des sphères d’activité de l’esprit, ou psychè, qui sont étudiées par la psychanalyse.

La conscience est un état de l’individu qui sait qui il est, où il est, ce qu’il peut ou ne peut pas faire dans le contexte où il se trouve.

Plus généralement, c’est la faculté à « se voir » soimême et à se reconnaître dans ses pensées et ses actions.

L’inconscient est ce qui échappe à la conscience.

 

L’inconscient, qu’est-ce que c’est ?

L’inconscient désigne ce qui relève de processus réels dont nous n’avons pas le sentiment, dont nous ignorons qu’ils se déroulent en nous, au moment où ils se déroulent.

 

L'inconscient chez Freud

C’est la naissance de la psychanalyse avec Sigmund Freud qui est associée à l’hypothèse de l’inconscient : une partie de notre vie psychique (c’est-à-dire de l’activité de notre esprit) répondrait à des mécanismes inconscients dont nous-mêmes, sujets conscients, n’aurions aucune connaissance claire et immédiate.

Sigmund Freud a écrit en 1915 dans Métapsychologie : « L’hypothèse de l’inconscient est nécessaire, parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l’homme sain que chez le malade, il se produit fréquemment des actes psychiques qui, pour être expliqués, présupposent d’autres actes qui, eux, ne bénéficient pas du témoignage de la conscience.

Notre expérience quotidienne la plus personnelle nous met en présence d’idées qui nous viennent sans que nous en connaissions l’origine et de résultats de pensée dont l’élaboration nous est demeurée cachée. » Des mécanismes inconscients

Pour Freud, l’inconscient représente les souvenirs refoulés qui subissent la censure, elle-même inconsciente, et qui cherchent à tout prix à se manifester à la conscience en contournant la censure. Cette manifestation à la conscience peut se faire grâce à des processus de déguisement qui les rend méconnaissables (actes manqués, lapsus, rêves, symptômes de la maladie).

 

Résumé de la théorie de Freud sur le ça, le moi et le Surmoi :

 

Chez Freud, le moi correspond à la partie défensive de notre personnalité, il est considéré comme la plus consciente. Il tente grâce à un rôle de médiateur de répondre aux intérêts respectifs du ça, du surmoi et du monde extérieur afin de trouver un certain équilibre. Le Moi est une “pauvre créature, devant servir trois maîtres ».

En effet, le moi doit supporter la menace provenant du monde extérieur, du ça et du surmoi.

Le ça est le « lieu » d'où proviennent les pulsions, il répond principalement au domaine de l'instinctif et de l'inconscient.

De plus, le ça, dans l'Interprétation des Rêves notamment, ne connaît aucune règle, ni de temps ni d'espace, ni d'interdit ; il est seulement régi par sa libido, c'est-à-dire l'énergie psychique souvent liée à la sexualité ou à l'agressivité, dans le but final d'atteindre le plaisir immédiat. Enfin, le surmoi représente l'agent critique, l'intériorisation des interdits et les exigences parentales, sociales et culturelles. Il est en partie inconscient, et se forme durant l'enfance et l'adolescence.

Freud et le ça :

Voici comment Freud décrit le ça : “C'est la partie la plus obscure, la plus impénétrable de notre personnalité. [Lieu de] Chaos, marmite pleine d'émotions bouillonnantes.

Il s'emplit d'énergie, à partir des pulsions, mais sans témoigner d'aucune organisation, d'aucune volonté générale ; il tend seulement à satisfaire les besoins pulsionnels, en se conformant au principe de plaisir. Le ça ne connaît et ne supporte pas la contradiction. On n'y trouve aucun signe d'écoulement du temps” (phrases de Freud) Le ça désigne la part la plus inconsciente de l'homme, c'est le réservoir des instincts humains, le réceptacle des désirs inavoués et refoulés au plus profond. Ces besoins pulsionnels ont besoin d'être canalisés, notamment via la sublimation (qui consiste à réaliser de manière détournée un désir pulsionnel). L'exemple donné par Freud est l'artiste sublimant ses pulsions via l'art.

Freud et le Surmoi :

Le Surmoi représente une intériorisation des interdits parentaux, une puissance d'interdiction dont le Moi est obligé de tenir compte.

L’être humain subit, en effet, durant son enfance, une longue dépendance qu’exprime le Surmoi. Le surmoi est cette voix en nous qui dit “il ne faut pas”, une sorte de loi morale qui agit sur nous sans comprendre son origine.

Freud et le moi :

Le Moi désigne la partie de la personnalité assurant les fonctions conscientes : “Le moi a pour mission d'être le représentant de ce monde aux yeux du ça et pour le plus grand bien de ce dernier.

En effet, le moi, sans le ça, aspirant aveuglément aux satisfactions instinctuelles, viendrait imprudemment se briser contre cette force extérieure plus puissante que lui.

Le moi détrône le principe de plaisir, qui, dans le ça, domine de la façon la plus absolue. Il l'a remplacé par le principe de réalité plus propre à assurer sécurité et réussite.” Le moi assure la stabilité du sujet, en l'empêchant au quotidien de libérer ses pulsions.

La topique freudienne du ça, du moi et du surmoi :

La révolution opérée par Freud est assez simple : la théorie psychanalytique consiste à détruire, à désintégrer le sujet humain, tel que Descartes puis Kant l'avaient défini, sujet défini comme être doté d'une faculté de représentation, à savoir la Conscience.

La conscience dans la philosophie classique était une et unique, d'un seul bloc, sans faille. Freud introduit justement une faille au sein même du sujet humain. Freud a élaboré deux théories de l'inconscient : La première topique se divisait en trois parties (conscient, préconscient, inconscient) mais Freud a vite compris les limites de cette conception. Il a donc créé une seconde topique (en 1923), bâtie sur le triptyque ça, surmoi, moi. C'est cette seconde topique qui marque le plus profondément la scission avec la philosophie classique. Freud définit en effet trois instances présentes en l'homme, lesquelles régissent ses comportements, à la fois conscients et inconscients

 

LA CONCEPTION DE LA VIE PSYCHIQUE DE JUNG

 

« Nous passons la moitié de notre vie à escalader une échelle, et l’autre à réaliser que nous l’avions adossée au mauvais mur. »

 

L'originalité de Jung est d'avoir introduit au-delà de l'inconscient individuel (résultant de l'histoire personnelle), étudié par Freud, l'inconscient collectif, qui représente la stratification des expériences millénaires de l'humanité : « Si l'inconscient pouvait être personnifié, il prendrait les traits d'un être humain collectif vivant en marge de la spécification des sexes, de la jeunesse et de la vieillesse, de la naissance et de la mort, fort d'une expérience humaine à peu près immortelle d'un ou deux millions d'années. »

Cette sagesse s'exprime à travers un petit nombre de thèmes privilégiés, que Jung nomme archétypes et qui se répètent identiques à eux-mêmes dans le folklore et la cosmogonie des différents peuples, ainsi que dans les rêves des « civilisés » (par exemple, le mythe de Prométhée).

Dans Psychologie et religion (1939), Jung étudie la fonction symbolique du nombre quatre (archétype de la quaternité) dans les philosophies de l'Extrême-Orient, les théosophies chrétiennes du Moyen Âge, l'alchimie et les rêves d'un patient névrosé. Il montre que ce symbole est associé à l'idée de Dieu créant l'Univers (Dieu ayant manifesté son existence en créant les quatre éléments). Les archétypes sont héréditaires ; leur somme représente l'inconscient collectif. Ils constituent en quelque sorte les « catégories a priori » de l'imagination, car Jung considère qu'il n'y a pas de création individuelle ou collective absolue ; celle-ci est toujours constituée en grande partie de matériel archétypique.

Parmi les archétypes, Jung attribue une importance spéciale à l'Anima, « cette figure de femme qui joue un grand rôle dans les rêves des êtres masculins ; elle porte la désignation technique d'Anima en raison du fait que l'homme, depuis des temps immémoriaux, a toujours exprimé dans ses mythes l'idée de la coexistence d'un principe masculin et d'un principe féminin dans le même corps » (Psychologie et religion). De même, l'Animus représente la « figure masculine de la psychologie de la femme », c'est-à-dire l'aspect logique et rationnel de la psyché féminine.

Ces deux figures apparaissent souvent dans les rêves, mais sont inconnues du moi, et leur prise de conscience représente un moment essentiel dans la thérapeutique jungienne. L'inconscient individuel s'exprime par le personnage de l'Ombre, image onirique caractérisée par un attribut noir. L'Ombre représente tout ce qui a été écarté de la conscience comme incompatible avec le moi. La rencontre avec l'Ombre, sous forme d'un dialogue entre le moi et l'Ombre au cours d'un rêve, par exemple, est un moment particulièrement angoissant : le moi risque d'être submergé par les tendances refoulées, qu'il reconnaît pourtant comme siennes et qui sont antagonistes de ses tendances conscientes.

 

LA MÉTHODE THÉRAPEUTIQUE DE JUNG

La psychologie psychanalytique, méthode thérapeutique mise au point par Jung, a pour but de permettre à l'homme de renouer avec les racines de lui-même, c'est-à-dire avec son inconscient. Les troubles mentaux ayant pour origine la perte de contact du moi avec l'inconscient collectif et personnel.

Jung considère que l'homme, en intégrant à son moi l'Anima (ou l'Animus) et l'Ombre, et en prenant conscience des exigences des archétypes en lui, peut accéder à la totalité de sa personnalité consciente et inconsciente, qu'il appelle le soi (das Selbst). L'accès au soi est le résultat d'une maturation psychologique de longue haleine, nécessitant une profonde réflexion sur soi-même et qui ne va pas sans angoisse, que le thérapeute aide à supporter en faisant accepter au patient les aspects peu favorables de lui-même.

Jung a mis au point la technique des associations libres afin de faciliter l'accès à l'inconscient : c'est la méthode d'amplification. Jung, tout comme Freud, considère que le rêve est une voie d'accès sans pareille à l'inconscient individuel, et à un niveau plus profond à l'inconscient collectif, car il peut exprimer des figures archétypiques. Le rêve, expression de la sagesse de l'inconscient collectif, est une tentative pour résoudre les conflits psychiques, ce qui lui confère sa valeur prémonitoire.

 

LES DIVERGENCES AVEC FREUD

Elles sont apparues très tôt dans l'évolution des idées de Jung. Cependant, Freud et Jung ont un point commun fondamental : montrer l'importance des phénomènes inconscients dans la vie psychique. Mais Freud n'a reconnu l'existence que de l'inconscient individuel, ce que critique fortement Jung.

Le déterminisme strict de Freud est de même contesté par Jung, car la psyché échappe « à des considérations causales qui laissent dans l'ombre tout ce qui en elle est finalité ». Les archétypes, préexistant à toute expérience individuelle, conditionnent le développement de la vie psychique, alors que celui-ci, dans la pensée freudienne, ne dépend que du jeu des pulsions dans l'histoire individuelle.

Le point de vue génétique du développement de la libido (qui chez Jung n'est plus uniquement d'origine sexuelle, mais représente l'énergie psychique en général) est moins fondamental chez Jung que chez Freud. Jung, lorsqu'il étudie les conflits névrotiques, considère surtout leur aspect actuel. Freud, lui, approfondit beaucoup plus ce qui dans l'enfance permet d'en rendre compte.

Si la valeur thérapeutique de la méthode de Jung peut être contestée par les freudiens, l'influence de ses idées dans des domaines variés n'a pas été négligeable, notamment en ethnologie, où le concept d'archétype est un instrument pour analyser les cosmogonies, le folklore et la distribution des rôles sociaux.

Comment découvrir son inconscient ?

Il existe différentes thérapies qui permettent de découvrir son inconscient.

Par exemple, la spirale sensorielle, qui est une méthode d’hypnose.

Cette thérapie a pour objectif de modifier son niveau de conscience en permettant une rencontre entre le conscient et l’inconscient.

Un autre exemple, le rêve éveillé libre, qui est un outil psychothérapie et de développement personnel. Cette thérapie fait ressortir des images enfouies dans l'inconscient pour ensuite décoder la signification symbolique. Le but du rêve éveillé libre est de libérer le patient de ses blocages.

D’autres outils que j’ai développés, permettent d’ouvrir l’inconscient et de transformer les mémoires émotionnelles.

 

L’inconscient, très puissant

De nombreuses expériences de psychologie montrent que l’inconscient est très puissant et que des mécanismes inconscients sont à l’œuvre dans la plupart de nos comportements, choix, décisions.

Nous ne pouvons pas contrôler cet inconscient.

Seule des spécialistes de l'inconscient peuvent comprendre nos conflits internes.

La psychanalyse ainsi que d'autres process procèdent en découvrant la source du conflit inconscient « refoulé » qui provoque les troubles dans l’existence.

Tenter d’analyser nos rêves, lapsus, actes manqués, etc. est important, car cela nous permet d’entendre nos désirs refoulés, sans forcément avoir besoin de les assouvir.

En effet, si nos désirs refoulés ne sont pas entendus, ils peuvent se transformer en symptôme physique.

 

L'inconscient est-il notre ami ou ennemi ?

 

L'inconscient ne nous veut ni du bien ni du mal. Il n'a pas cette notion. Il répète ce qu'il a enregistré. C'est une mémoire. Exemple, vous ressentez de la peur à construire un chalet en bois. Eh bien, à chaque fois, qu'il faudra construire un chalet, vous allez tout faire pour échapper à la tâche.  Parfois, vous allez vous obliger à le faire si cela met en péril d'autres aspects de votre vie. Vous allez rajouter, à ce moment-là un sentiment de contrainte. La construction d'un chalet, vous fera souffrir. Avec des techniques de transformations émotionnelles, vous allez pouvoir changer ses émotions et donc agir et ressentir différemment et donc progresser (avancer de votre vie). 

En effet, l'inconscient est seulement présent pour vous refuser de laisser pénétrer dans la sphère du conscient un élément qui peut vous faire du mal, vous blesser, vous faire peur (une émotion) ou vous donner une mauvaise image des personnes que vous aimez, par exemple. Ce sont les illusions de votre perception et de la réalité (voir les différentes illusions de votre cerveau) que vous avez créé en vous-même et non la vérité (ce qui est concret et conscient). 

L'inconscient est toujours là, ainsi les pensées refoulées ne sont jamais assez réduites au silence pour se faire oublier.

 

Le subconscient 

 

Le subconscient est un mot utilisé à la fois en psychologie et en philosophie. Il fait référence à un état psychique dont on n’a pas conscience, mais qui influe sur le comportement. Étymologiquement, il signifie « sous la conscience ».

On le confond souvent avec le terme « inconscient », qui a une signification du même ordre.

Qu'est-ce que le subconscient ? D'autres concepts le préconscient, comme "le ça", "le moi" et "le surmoi" décrivent notre psychisme selon la théorie freudienne.

 

Qu’est-ce que le subconscient ?

 

Plusieurs mots en psychologie servent à décrire le psychisme humain.

L’inconscient correspond à l’ensemble des phénomènes psychiques auquel notre conscience n’a pas accès.

Par opposition, le conscient est la perception immédiate de notre état psychique.

Il nous permet d’avoir accès à la réalité du monde, de nous-même, de réfléchir, d’analyser, et d’agir de manière rationnelle.

 

La notion de subconscient est parfois utilisée en psychologie ou dans certaines approches spirituelles pour compléter ou remplacer le terme d’inconscient. Il concerne les automatismes psychiques hérités d’un passé éloigné (nos aïeux), ou plus récent (nos expériences propres).

Le subconscient est ainsi ce qui fait fonctionner notre corps, sans que nous en ayons conscience : par exemple, certains mouvements automatiques en conduisant, ou encore la digestion, les réactions nerveuses du corps, les réflexes de peur, etc.

Il correspond donc à nos instincts, nos habitudes acquises et nos pulsions, sans oublier nos intuitions.

Le subconscient peut laisser apparaître des choses dont on ne pensait pas avoir en nous, lors de mouvements automatiques (comportements moteurs), ou encore de mots dits ou écrits (lapsus par exemple), d’émotions inattendues (pleurs ou rires incongrus). Il a ainsi tendance à agir indépendamment de notre volonté.

 

Quelle est la différence entre subconscient et inconscient ?

 

Dans certains domaines, on ne notera pas de différence. Pour d’autres, on préfèrera qualifier de caché, d’invisible l’inconscient, alors que le subconscient peut être plus facilement démasquable, car il est plus spontané et facilement observable.

Le subconscient se repose sur les habitudes acquises, alors que l’inconscient repose sur ce qui est inné, plus enfoui.

Freud parlait plutôt d’inconscient que de subconscient, lors de ses séances de travail.

Quels sont les autres concepts de notre psychisme ?

 

Dans la théorie freudienne, il existe le conscient, l’inconscient et le préconscient. Le préconscient est l’état qui précède la conscience.

Alors que, comme on l’a vu, l’inconscient est impliqué dans la plupart des phénomènes mentaux, le conscient n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Le préconscient, quant à lui, et ce qui permet de faire le lien entre les deux. Les pensées inconscientes peuvent, grâce à lui, devenir conscientes peu à peu.

Bien entendu, les pensées inconscientes sont choisies à bon escient par l’inconscient pour n’être ni trop dérangeantes, ni trop insatisfaisantes ou insupportables.

C’est le « surmoi », la partie « morale » de notre inconscient qui se charge de censurer le « ça », la partie concernant nos désirs et pulsions les plus inavouables.

Quant au « moi », c’est l’instance qui fait le lien entre le « ça » et le « surmoi ».

Quel est l’intérêt de connaître les méandres de notre subconscient ou de l’inconscient ?

Plonger dans notre subconscient ou notre inconscient n’est pas de tout repos. On doit affronter souvent des pensées dérangeantes, faire face à nos démons enfouis, comprendre des mécanismes diaboliquement bien ancrés (par nous-mêmes), afin tout simplement d’éviter de les subir.

En effet, mieux se connaître, et mieux connaître son inconscient permet de dépasser de nombreuses peurs irrationnelles, nos rejets inconscients, qui peuvent nous rendre malheureux.

Il s’agit de prendre suffisamment de recul sur nos actes et une bonne réflexion sur ce qui les déclenche, pour comprendre et ensuite agir autrement en transformant nos mémoires émotionnelles et selon les valeurs que l’on prône, sans se laisser gouverner ou duper par notre « ça ».

Il est certes illusoire de vouloir contrôler complètement toutes nos pensées, nos pulsions et nos peurs.

Mais mieux se comprendre et transformer ses mémoires inconscientes, apporte une certaine liberté retrouvée, et permet de refaire le lien avec un libre-arbitre et une force intérieure.

 

 

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